Le besoin de phospholipides pour la mémoire

Situés à côté des récepteurs, et constituant la majeure partie de la membrane de chaque cellule, on trouve les molécules de phospholipides, avec lesquelles les récepteurs ont des liaisons chimiques. Bien que les membranes soient aussi formées d’autres lipides et de substances protidiques, les phospholipides représentent jusqu’à 70% des composants de sa structure. La Phosphatidylsérine, complément nutritionnel est un phospholipide. Sa fonction est de participer à l’activation et à la régulation de nombreuses protéines membranaires. En termes plus simples, augmenter le rapport quotidien de phospholipides en prenant un complément nutritionnel résout bon nombre des problèmes qui conduisent à l’affaiblissement de la mémoire lié à l’âge.

Lorsqu’un transmetteur s’est attaché, ou « lié » », avec son récepteur, une cascade d’interactions biochimiques se déclenche qui relaient le message au noyau du neurone ; il progresse alors vers l’extrémité d’un nouvel axone, où il prolonge le même processus de transfert du message des d’autres cellules par la libération de ses propres transmetteurs. Un chercheur italien l’a résumé de cette façon : afin de déclencher la bonne réponse, ou une réponse satisfaisante, dans la cellule, les messages biochimiques qui atteignent la surface neuronale doivent être « capturés, reconnus, décodés, transformés et retransmis sous la forme requise à l’intérieur de la cellule ».

Pour avoir une image plus globale de tout cela, disons que : une zone du cerveau de la taille d’un grain de riz renferme 1 million de cellules nerveuses, 10 milliards de synapses et 32 km d’axones. Chacune de ces cellules nerveuses « écoute » et, en même temps, « parle à » jusqu’à 10.000 autres cellules. Des millions de signaux rayonnent au travers du cerveau en permanence. Les chercheurs ont découvert la localisation des autres neurones auxquels une cellule nerveuse se relie en injectant un colorant dans la cellule, ce qui leur a permis d’établir une « carte » des connections des cellules cérébrales ces cartes montrent clairement que les cerveaux âgés ont moins de « points de contact » que les plus jeunes, et c’’est sur cette diminution que nous devons concentrer nos efforts si nous voulons maintenir notre mémoire au même niveau d’efficacité que pendant notre jeunesse.

L’une des raisons pour lesquelles notre cerveau peut être sujet à une perte de la mémoire à court terme, c ‘est que, alors que nous entrons dans les 6e et 7e décennies de notre vie, sa densité se réduit et ses circuits s’éclaircissent. En conséquence, la circulation sanguine, l’assimilation de l’oxygène et l’utilisation de glucose (sucre) diminuent d’une manière significative. Les recherches sur les fonctions de la mémoire impliquant des processus au niveau du lobe frontal indiquent qu’ils sont particulièrement affectés par cet avancement de l’âge ». Un faible taux de sucre sanguin, ou l’incapacité à employer le sucre disponible produit sur le cerveau (et particulièrement sur l’hippocampe) une carence d’énergie semblable à une panne électrique qui affaiblit certaines formes de mémoire à court terme.
 

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