La Phosphatidylsérine restaure les membranes cellulaires

Alors que nous vieillissons, la  composition des membranes de nos cellules cérébrales se modifie de plusieurs manières. L’une de ces modifications cruciales, c’est qu’elles se  chargent en  cholestérol, lequel réduit la fluidité de certaines d’entre elles. Il est probable que les membranes rigides de ces cellules chargées en cholestérol soient moins réceptives aux impulsions venant d’autres neurones, et cela interfère dans la récupération des souvenirs.

De la même manière que notre organisme a besoin de s’alimenter pour retrouver l’énergie lorsque nous sommes épuisés, les membranes de nos cellules nerveuses vieillissantes ont besoin d’être stimulées pour les aider à recouvrer leur activité naturelle, et il est probable que la Phosphatidylsérine apporte cette stimulation. Les membranes cellulaires sont revitalisées et autorisent les nutriments à pénétrer plus facilement dans la cellule, comme elles le faisaient quand elles étaient « plus jeunes ».

La Phosphatidylsérine est un élément vital pour stopper ou inverser le cours de l’affaiblissement de la mémoire lié à l’âge.

La Phosphatidylsérine, une substance lipidique renfermant du phosphore, c’est-à-dire un phospholipide, fut chimiquement isolée pour la première fois en 1948. Après que les chercheurs européens aient trouvé une méthode pour extraire et concentrer la PHOSPHATIDYLSÉRINE à partir de cervelles animales, ils ont commencé des recherches, centrées principalement sur ses effets dans le cerveau.

Les premières études examinant les effets de la Phosphatidylsérine furent effectuées sur des rats qui avaient subi des lésions cérébrales. Par exemple, pour découvrir si la Phosphatidylsérine, extraite du cortex de cervelles bovines et purifiée, pouvait prévenir les dysfonctionnements cérébraux liés à l’âge, des chercheurs Italiens l’ont ajoutée à l’eau de boisson d’un groupe de rats. Dix-neuf mois plus tard, les rats ont été testés pour leurs capacités à apprendre à éviter une décharge électrique dans une boîte où ils devaient circuler. La Phosphatidylsérine nettement prévenu le déclin de leurs capacités d’apprentissage. L’examen de leurs cerveaux, 27 mois plus tard, a montré que la Phosphatidylsérine avait empêché certaines modifications spécifiques induits par l’âge dans l’hippocampe.

Dans une interview à un journal britannique, le docteur Kidd a récapitulé d’une manière pertinente 11 années de recherches animales en disant : « A partir du moment où des rats de laboratoire atteignent un âge moyen, ils sont moins aptes à négocier des labyrinthes (montrant par là une perte de la mémoire spatiale). Lorsqu’ils prennent de la Phosphatidylsérine, ils demeurent adroits en vieillissant ».  Un chercheur Italien a rendu compte des résultats de ses études montrant que la Phosphatidylsérine « évite entièrement » le déclin des possibilités d’apprentissage qui surviennent chez les rats âgés.

Au début des années 80, un grand nombre de recherches exploratoires ont été menées sur les effets de la Phosphatidylsérine chez les humains, pour la plupart en Italie. Elles portaient seulement sur un nombre retreint de personnes et n’étaient pas prévues pour apporter des preuves rigoureuses, à partir d’études en double aveugle,  contrôlées par un groupe placebo. Elles ont plutôt été employées, comme c’est souvent le cas des recherches préliminaires, pour donner des idées aux chercheurs sur les domaines vers lesquels des recherches plus sophistiquées pourraient être orientées.

Personne ne sait jusqu’à quel point ces facteurs rendent partiaux, ou transforment, les résultats, mais à cause de l’influence qu’ils pourraient avoir, les études qui ne sont pas auto-contrôlées n’ont évidemment pas autant de valeur que les études en double aveugle, contrôlées par un placebo, dans lesquelles ni les patients ni les médecins ne savent qui reçoit le médicament étudié. Néanmoins, des tests exploratoires de ce type ont une grande valeur, dans un premier temps, en déterminant les effets d’un nouveau médicament ou d’un nouveau complément nutritionnel, en encourageant les chercheurs suivants à engager du temps et de l’argent dans la mise en place d’une recherche plus rigoureuse et en donnant des indices pour l’orienter.

Après cet avertissement, il est intéressant d’examiner certaines des découvertes prometteuses que les chercheurs Italiens ont faites, chacune ayant contribué aux informations croissantes sur les effets de la Phosphatidylsérine. Sauf indication contraire, les participants ont été traités avec 300 milligrammes de Phosphatidylsérine chaque jour, administrée en trois doses de 100 milligrammes lors des repas.

 

  • L’attention, la mémoire et l’humeur s’améliorent avec la Phosphatidylsérine.

 

  •  En 1987, des chercheurs ont sélectionné 30 individus (21 hommes et 9 femmes d’un âge moyen de 69 ans), ayant une détérioration cognitive et comportementale légère, à partir de groupes de patients hospitalisés ou non. Après une vaste série de tests d’attention/concentration et de mémoire, et ayant été évalués sur une échelle comportementale, les participants ont reçu 300 milligrammes de Phosphatidylsérine chaque jour pendant deux mois ; après quoi ils ont été de nouveau testés. Dans un test d’attention/concentration, demandant de rayer les lettres cibles C et E, mélangées d’une manière aléatoire sur une feuille de papier, ils ont été notés nettement plus haut. Dans les tests de mémoire, d’acquisition de nouveaux souvenirs, de rappel de la mémoire, d’acquisition de nouveaux souvenirs, de rappel de la mémoire, l’amélioration était indubitable, de même que pour l’humeur.

 

  •  La Phosphatidylsérine améliore la mémoire d’une manière très nette, particulièrement chez ceux ayant un niveau modéré de détérioration. En 1987, 35 patients (19 hommes et 16 femmes) d’une maison de repos privée à Rome, entre 61 et 80 ans, ont été traités avec 300 milligrammes de Phosphatidylsérine chaque jour pendant deux mois. Ceux qui montraient un niveau de démence avancée ou présentaient des troubles médicaux ou Psychiatriques ont été écartés. Le groupe a été évalué par une série de tests de mémoire, et sur une échelle d’évaluation comportementale, à trois reprises : au début de l’étude, au trentième jour et à la fin de la cure de Phosphatidylsérine. Tous les résultats ont montré une amélioration très significative, mais les meilleurs ont été obtenus chez les patients souffrant seulement d’un niveau modéré de détérioration. Les auteurs ont remarqué que la Phosphatidylsérine  peut rendre une personne âgée plus réceptive aux stimuli environnementaux, ce qui a pour résultat une socialisation et une initiative accrues, d’où, par suite, une adaptation et une participation améliorées aux activités quotidiennes.
  •  La Phosphatidylsérine  augmente d’une manière significative la capacité à apprendre des listes de mots, aussi bien que les aptitudes à l’attention et à la perception visuelle. La Phosphatidylsérine a été administrée oralement à 30 hommes et 4 femmes (de 62 à 76 ans). Le nombre d’années scolaires allait de 3 à 8, avec une moyenne de 4.6 ans. Seules neuf personnes du groupe avaient des scanners normaux du cerveau, tandis que 24 montrait une légère réduction de la taille du cortex et 19 un léger accroissement des ventricules cérébraux. Les patients furent testés quatre fois : au début de l’étude, après 30 jours, après 60 jours et 30 jours après la fin d’une cure quotidienne de 300 milligrammes de Phosphatidylsérine. Une amélioration très nette s’est manifestée dans l’étude de listes de 15 mots et dans la capacité à s’en souvenir, ainsi que dans un test symbolique sur des chiffres mesurant les capacités d’attention et de perception visuelle. Après le traitement, la plupart des domaines testés ont fait marche arrière vers les niveaux de la période précédant celui-ci.
  •  La Phosphatidylsérine a un effet durable sur les fonctions cognitives et comportementales. Après que 27 patients Italiens souffrant de « déclin cognitif sénile » léger aient été traités avec 300 mg de Phosphatidylsérine pendant 60 jours, il a été montré une amélioration des fonctions cognitives et comportementales (autonomie, meilleur sommeil, initiative et socialisation). Cependant, ce qui est intéressant à noter au sujet de cette étude, c’est que l’amélioration s’est maintenue un mois après la fin de la thérapie.
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